« Tous les hommes pensent que le bonheur se trouve
au sommet de la montagne.
Alors qu’il réside dans la façon de la gravir. »
- Auteur inconnu
au sommet de la montagne.
Alors qu’il réside dans la façon de la gravir. »
- Auteur inconnu
Bien sûr! Vous avez raison! Ce n'est pas évident. Ce n'est pas facile.
Vous avez raison. Je le répète. Je ne vous obstinerai surtout pas là-dessus. Par contre, je vous poserai cette question: Qui a dit que cela devait être facile? Pourquoi cherchons-nous la facilité? Je dis «nous» car je m'inclus dans le lot. Mais... Quand on se lève le matin et qu'on ne sait plus où donner de la tête. Quand on se prend la tête devant un nouveau défi. Quand on voudrait plonger la tête dans le sable face à un problème. Quand la tête veut nous exploser tellement ça nous semble compliqué... Je repose la question: Pourquoi cherchons-nous la facilité? Humm, pas sûr. Nous voulons la facilité, certes, mais nous ne cherchons pas toujours à la bonne place pour l'obtenir. Il est peut-être temps de déposer notre tête sur la glace et d'écouter notre COEUR. De se brancher à ce qui fait de nous ce que nous sommes. Nos forces, nos habiletés, nos goûts, nos envies, nos propres façons de faire, nos propres valeurs. À NOUS quoi! Débrancher notre tête et se connecter à notre coeur. Voilà une façon de rendre tout plus aisé. Quand on écoute son coeur, on ne rame pas à contre courant. On suit SON courant. Quand on suit son courant, tout coule. On ne dévie pas le cours d'une rivière, on s'y laisse glisser. Bien sûr, les pierres et les rapides ne disparaîtront pas. Mais souvenez-vous, notre coeur bat chaque seconde. Chaque seconde, nous avons donc le choix du côté où on plongera la rame.
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![]() PS(en avance) Je sais que le début vous semblera un brin ésotérique, prenez-le au pied de la lettre ou poétiquement; peu importe, car c'est le message qui est important! Qui suis-je moi? Alors que je me pose la question encore une fois, me vient la réponse. Je suis l’eau et le feu. J’apaise et je stimule. Je ne sais pas encore toute l’étendue de mon pouvoir et de ma réalité. Mais je sais que SUIS. Je suis celle que je suis. Je ne suis pas parfaite, je suis encore incomprise de moi-même (chaque jour un peu moins), mais j’ai à cœur de découvrir qui je suis réellement et pourquoi je suis ici. Mais je sais que je suis là pour les autres autant que pour moi-même. J’ai la faculté de me DÉCOUVRIR chaque jour un peu plus et j’ai la passion de ce talent. Je suis à même de permettre aux gens de se découvrir un peu plus eux aussi. Dois-je attendre d’en être rendue à la fin de moi-même pour enfin me tourner vers les gens et contribuer à ce qu’ils se découvrent? J’ai la conviction profonde que je n’arriverai à ce point qu’à mon dernier jour, alors je ne peux donc pas me permettre d’attendre. Ce que je vous offre est donc imparfait (ce n’est pas ce que le voisin pourrait vous offrir ou ce que mon ego souhaiterait vous offrir), mais voilà ce que je suis et ce que j’ai pour vous : de l’ÉCOUTE; de l’écoute à revendre, de l’écoute bienveillante et lucide, de l’écoute libre et sentie. Moi qui ai tant parlé dans ma vie, voilà que je ne suis là que pour vous écouter, pour vous laisser libre d’ÊTRE en face d’un autre être humain; un humain qui vous fait confiance, qui SAIT que vous avez la capacité d’être ce que vous voulez être. J’ai la certitude que vous deviendrez ce que vous voulez vraiment être; car vous l’êtes déjà. Ça, je sais. Mais je ne sais pas tout. Et c’est justement parce que je ne sais pas tout que je n’ai pas de réponses. Pour vous, je n’ai que des questions. Des questions qui vous permettront de cheminer vers vos propres réponses. Brigitte, votre coach développeur de potentiel humain . Saisir . Agir . Choisir Et si le bonheur était conté…
Je raconterais La lune et les étoiles La senteur de la première pluie du printemps Le gazon frais coupé Le chant du chardonneret La vague qui vient s’échouer sur le rivage L’odeur de lilas volé au voisin et la couleur du coucher de soleil Je raconterais surtout Le regard d’un ami Le sourire partagé avec une étrangère sur le trottoir (qui ne l’est plus maintenant) Le tendre câlin de mon amour Le coeur texté par mon ado Et le café partagé avec ma mère Je raconterais aussi La confiance que me font mes clients Ce regard qui dit tout Cette larme qui coule en douceur Ce pétillement dans l’œil de celui qui vient de se comprendre Ce battement de cœur qui accélère avant l’action Cette sensation qui remplit la poitrine quand la confiance cogne à la porte Ce privilège qui m’est donné de contribuer au mieux-être de mes semblables Ces rencontres Ce partage Et toi, que racontes-tu? Les gens voient passer à l'écran ma proposition et me demandent: Mais, qu'est-ce que le SpeedCoaching?
C'est bien simple. J'ai créé ce nom en me basant sur les rencontres de SpeedDating qui connaissent une certains engouement depuis quelques années. Vous connaissez bien le concept: rencontres courtes et efficaces pour rencontrer l'âme soeur. Le SpeedCoaching est basé sur les même principes: rencontre courte (de 30 à 40 minutes) et efficace pendant laquelle VOUS vous rencontrez vous-même. Il est surprenant de constater ce qu'un coaché peut réaliser en si peu de temps avec un accompagnement. Cela me fascine chaque fois. 1. Vous établissez un objectif personnel ou professionnel 2. Je vous accompagne dans le processus (écoute, questions d'impact, feedback) 3. Vous faites des apprentissages sur vous-même 4. Vous vous mettez en action Wow! Simple et efficace. Bien sûr, parfois il arrive qu'un coaché veuille poursuive la démarche à plus long terme pour approfondir ses prises de conscience et avancer plus loin et plus rapidement. Mais cela n'est qu'un effet secondaire possible ;-). Vous pouvez aussi fêter cette avancée réalisée en moins de 45 minutes (c'est important de célébrer ses victoires) et arrêter là... jusqu'à la prochaine fois (on devient vite accro au développement de soi quand on vit des réussites!). Tenté? Pourquoi pas? Osez le coaching! Il y a de ces moments dans notre vie où l’on sent que l’on fait du «sur place». On se demande même si on ne serait pas en train de reculer. La peur s’installe alors, la frustration aussi. On était pourtant en bon chemin! Qu’est-ce qui s’est passé entre hier et aujourd’hui? Elle est passé où la route que l’on venait de tracer à grands coups de courage et d’efforts? La larme s’installe au coin de l’œil, le cœur se rempli d’adrénaline et rien ne va assez vite, on a juste envie de se blottir dans un coin avec une doudou sur la tête. Cette semaine, je me retenais de pleurer devant les tomates au supermarché. Eh oui, vous avez bien lu. Mais qu’est-ce qui se passe? Je ne suis pourtant pas dépressive, tout allait bien il y a quelques jours et je pétais le feu, comme on dit en bon québécois. J’ai regardé où j’en étais (après avoir essuyé mes larmes et payé mes tomates). J’ai constaté que je nageais en pleine période de deuils; de petits deuils, mais bien réels. J’avais aussi le cerveau en trop-plein, fatigue psychologique accumulée à force de bâtir toujours du nouveau. Le changement, ça gruge! Bon. Et maintenant qu’est-ce que je fais? D’abord : ACCEPTER. Accepter que je suis dans cet état. Accueillir les émotions qui montent. Les regarder en face, les recevoir comme des signaux nécessaires. Ensuite : ACCUEILLIR. M’accueillir moi-même dans ce que je vis et aussi «me faire accueillir». Trouver une bonne oreille, une vraie, qui m’écoutera avec empathie, sans jugement, sans paroles qui effaceront mes émotions (ça va passer, tu vas voir. Ce n’est rien… Voyons! Tu as un super nouveau job! De quoi tu te plains?). Une vraie oreille ce n’est pas si facile à trouver, cherchez bien dans votre entourage les gens qui vous donneront de l’énergie et non ceux qui vous l’enlèveront (au mieux, trouvez un coach 😉). Aussi : ACCRÉDITER. Regarder le chemin fait dans les derniers mois, tous les obstacles franchis, les micro réussites, les attitudes nouvellement adoptées. Il est important, et même plus qu’important, de prendre le temps de revoir le chemin parcouru. Le changement a cette fâcheuse habitude d’intégrer en nous les modifications apportées, les connaissances acquises, les prises de conscience faites et de nous les retirer de notre mémoire active. Résultat : on oubli tout ce qu’on a entrepris, fait et réussi puisque cela fait désormais partie de nous. Prendre le temps de faire un bilan sans fausse modestie de tout le chemin parcouru nous remet les yeux en face des trous. J’ai pris ce temps. Parfois ces mêmes gens qui nous écoutent, sont aussi excellents pour nous remettre devant les yeux toute la liste de nos avancées, profitez d’eux! Finalement : AVANCER. Regarder devant maintenant qu'on a jeter un regard vers l'arrière. Eh oui! On y revient. Le changement est fait de petits pas. Se mettre en action et très salvateur. Quand on fait du «sur place», il n’y a que le mouvement pour s’en sortir. Que vous y alliez avec un grand saut dans le vide ou à pas de souris n’a que peu d’importance. Respectez votre style, mais de grâce! Avancez! C’est ce que j’ai fait cette semaine. Ces 4 étapes sont nécessaires. Parfois, c’est plus long (validez bien que vous passez par toutes les étapes sans vous mettre la tête dans le sable. Sortir de notre zone de confort est souvent douloureux.) Je suis maintenant prête à affronter le prochain panier de tomates. Sans blague, j'ai retrouvé plus de solidité. Et je me donne le droit de flancher encore, car le changement est une spirale qui m’éloigne de mon point de départ, mais qui, immanquablement, me fera repasser souvent tout près de celui-ci, jusqu’à mon arrivée. Mes coachés passent régulièrement aussi par ces nécessaires moments de «sur place». Nous sommes tous humains, nous passons tous par les mêmes chemins, bien que l’on veuille souvent l’ignorer. Je ne suis pas différente ou meilleure parce que je suis coach. Je ne suis pas au-dessus des hommes. Nous avons tous la même vulnérabilité. L’accepter au grand jour nous rapproche les uns des autres et nous fait nous sentir moins seul. Car nous sommes tous seuls ensemble! « Tous les hommes pensent que le bonheur se trouve au sommet de la montagne. Alors qu’il réside dans la façon de la gravir. » Auteur inconnu Méditez cette sage parole et bonne route! Source de l'image: https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0003448713000887
Quel sentiment grisant!
Oui, oui, je m’explique, je m’explique. Quel sentiment grisant que d’être assis en face d’une personne, d’un homme, d’une femme qui éprouve une difficulté et de sentir qu’on peut faire la différence. Être là, simplement là et écouter. Écouter vraiment avec empathie et sans jugement. Être là, simplement là et entendre. Entendre les besoins de cette personne et ses envies. Être là, simplement là et comprendre. Comprendre réellement ses peurs et ses espoirs. Et de participer à la découverte que cet homme ou cette femme font d’eux-mêmes. Je vous dis MERCI ! Merci de me faire confiance, de vous ouvrir à moi et de me permettre de participer à la construction de votre bien-être. Votre coach, Brigitte « Quelle innocente je suis! Merde! Je me suis plantée royalement! Qu’est-ce que vont dire les autres? Ils vont se dire que je suis bête. Pourquoi est-ce que je suis allée me mettre dans cette situation? J’aurais mieux fait de rester tranquille à ma place. Me taire. Ahhhhhhh! »
Vous connaissez? Ce discours, vous l’avez déjà entendu? Qui l’a prononcé? Vous? Eh oui, certainement. Pas les autres. Ces autres, contre toute attente (lire ici : malgré l’idée que vous vous faites de vous-même), ne pensent pas du tout ça. Ils se disent plutôt : « Ce qu’elle est courageuse! Elle a osé, elle. Mon dieu! Regarde-la, elle a l’air un peu mal, mais elle se tient debout. Tiens, elle rit même. Elle s’est trompée et elle va survivre. Qu’est-ce qu’elle est courageuse. En suis-je capable?» Je me suis trompé. J’ai fait une erreur. ET ALORS! ET ALORS? Avez-vous déjà remarqué que le juge le plus sévère à votre cour suprême est : vous-même!? Et, de plus, vous êtes sans appel. « Apprendre, c’est toujours prendre le risque de se tromper. Quand l’école oublie, le bon sens populaire le rappelle, qui dit que seul celui qui ne fait rien ne commet jamais d’erreurs. » (Astolfi 2015) Ce qui est bon pour l’école est bon aussi pour L’ÉCOLE DE LA VIE. Soyons! Agissons! Osons! Trompons-nous! Assumons! Et apprenons. Apprendre, c’est avancer, c’est se développer, c’est vivre! Si la réussite nous est indispensable pour se créer un sentiment d’efficacité personnelle fort - moteur de motivation et de persévérance - L’ERREUR est tout simplement UNE AUTRE FAÇON DE VIVRE UNE RÉUSSITE. « Quelle innocente apprenante je suis! Merde Merveilleux! Je me suis plantée royalement! Tant mieux! Qu’est-ce que vont dire les autres je vais apprendre de ça? Ils ne vont pas se dire que je suis bête. Ils vont me trouver courageuse. Pourquoi est-ce que je ne suis pas allée me mettre plus tôt dans cette situation? J’aurais mieux fait de bouger avant, rester tranquille à ma place ne m’a pas permis d’apprendre jusqu’à maintenant. Me taire. Ahhhhhhh Plus jamais! À partir de maintenant, j’ose, je me mets en action, je me trompe, je change et j’avance! » Pour ma part, je fais des erreurs dans un exercice de mise en pratique de coaching il y a quelques semaines. J’ai voulu me juger et j’ai cherché le jugement dans les yeux des autres. Mais dans notre cohorte, on a choisi d’applaudir nos erreurs; littéralement. Quelle belle ovation j’ai eue! Et j’ai choisi de voir la lueur de fierté dans les yeux de mes collègues : j’avais osé. Je n’avais pas été parfaite, oh non! Loin de là. Mais je sais maintenant ce que je dois faire pour m’améliorer. Et j’ai aussi contribué à leur apprentissage. La semaine dernière, c’était à mon tour d’observer certains de mes collègues se tromper. Je les ai applaudis. On a ri. On a réfléchi. On a appris. Merci de vous mettre en danger aussi : notre risque d’apprendre... est immense! Prenez le risque aussi! Je sais que le filet de sécurité n’est pas toujours aussi solide autour de nous, mais osez, votre propre regard transformé changera le regard des autres. Plongez! Et bonne erreur! Action! Ça y est! C’est parti! Il y a quelques semaines, je me suis lancée dans ce nouveau projet de carrière : devenir coach professionnelle.
Tête baissée? Non! En fait, tout me menait là. Après avoir subi et choisi quelques aventures professionnelles dans les dernières années, je me suis interrogée sur ce que je voulais maintenant vraiment. Conclusion :
Et puisque je ne fais pas les choses à moitié, j’ai débuté une formation qui me mènera à une certification officielle. Voilà pourquoi je suis là à vous parler aujourd’hui. J’ai décidé de faire votre connaissance dès maintenant... et vous permettre de faire ma connaissance. De ne pas attendre d’être certifiée officiellement. On nous dit bien au départ de notre formation : un coach ne ressort pas indemne d’une démarche de coaching. Aussi bien débuter tout de suite à sortir de ma zone de confort, je n’en serai que plus fort (ok, c’est « forte » qu’il faut écrire, mais ça sonnait mieux). En tant que coach, je vais passer mon temps à vous faire sortir de votre zone de confort, ce l'un de mes meilleurs atouts. Je prends donc maintenant le même risque que vous. Je vous raconterai les péripéties de mon aventure au cœur de mon propre parcours personnel et professionnel. Je vous donne accès à moi (moi qui suis si pudique habituellement). Comment vous demander de vous livrer si je ne vous offre pas moi-même ma vulnérabilité? À bientôt! Brigitte En attendant le prochain article, allez consulter la page À PROPOS pour en savoir davantage sur la démarche de coaching. |